licenciement ou pas,merci l'épilepsie et la connerie Humaine

Pour la 2ème fois en 4 ans je suis déclaré inapte à mon poste de travail (dans la même société). Cette fois à cause de la bêtise humaine pour rester poli.
Voilà la situation, il y 4 ans j'ai été déclaré inapte à mon poste de travail en une visite et retour à la maison. Mon employeur avait un mois pour me reclasser. je ne pouvait plus travailler en horaire poster et conduire d'engins. En gros, c'était la ligne droite vers le licenciement, de plus lors de l'entretien avec le DRH et Management "il va être très difficile de vous reclasser en horaire de journée au sein de notre entreprise, mais on va envoyer votre cv à nos filiales dont une à Lyon (j'habite dans le Nord)". A la dernière minute ils m'ont trouvé un poste (le même jour où j'ai reçu la validation de mon titre de conseiller des salariés).
Et aujourd'hui retour à la case départ, tout ça à cause de la jalousie. Et oui des collègues sont jaloux de moi, vous vous rendez pas compte : "tu es reconnus travailleur handicapé donc avec ta maladie tu crains rien, tu as de a chance"; et oui j'ai de la chance, je suis malade. Vous vous rendez compte, on vous crache à la figure d'avoir de la chance d'être malade. De plus je ne sais pas où ils font chercher que le travailleur handicapé est protégé. La seule chose qu'on a de plus c'est de prétendre à un aménagement de poste, rien de plus, ça s'arrête là.
Tous ça parce qu'il y a un peu plus de 2 mois, il y a eu bruit qu'il y allait avoir éventuellement une restructuration et un réaménagement dans notre service.
Donc certaines personnes ont commencé à avoir peur d'être mutée ou changée d'horaire de travail. pour l'enfer a commencé. Première attaque : moquerie devant tout le monde parce que j'ai un léger défaut de prononciation (la dernière fois c'était en primaire maintenant j'ai la quarantaine)
la suivante, je voulais expliqué une nouvelle procédure mise en place dans le travail "tu n'as rien à me dire, il y a un supérieur, toi tu n'es rien ici, tu n'as rien à m'expliquer", je suis parti gentillement (cela devant une personne extérieure à l'entreprise) en disant comme tu veux; 10 minutes plus tard, la même personnes arrivait sur moi furax, en m'agressant, que j'avait rien n'a lui dire etc.. si un collègue ne s'interposait pas, je me prenais une baffe (alors qu'à aucun moment je n'ai été agressif, je l'ai dit simplement "ok comme tu veux, maintenant laisse moi tranquille, on en reste là".(j'ai été appelé par mon chef pour donner une explication, elle impossible car elle a agressé aussi le chef);
le lendemain matin, j'arrive pour lui dire bonjour :"j'ai plus envie de te dire bonjour", et plus aucune parole (depuis 2 mois maintenant même dans le cadre du travail).
le midi, j'arrive dans la salle de pause repas (qu'on partage à 3 collègues qui avons les mêmes horaires) les 2 collègues se lèvent et vont manger dans une autre pièce (qui n'est pas prévue pour ça). Bonjour, l'ambiance.
Sur la même période mon chef direct me fait à 1 mois d'interval une remarque sur mon aménagement de poste. En effet, je n'ai plus le droit de conduire d'engin dans mon entreprise, et il me la remarque suivante "si tu veux aller à ce poste de travail, tu n'as qu'à conduire cet engin"; Ces gentillesses m ont conduit à l'infirmerie et par la suite arrêt maladie.
Le problème du repas du midi c'est réglé, ils ne pouvaient pas manger ailleurs donc obligé de me "supporter".
Un midi, ces gentils collègues se sont amusé à lancer de la nourriture avec leur cuillère. Mon collègue en lancant ses pates avec sa cuillère sur un collègue derrière moi m'a touché. Mais c'était normal pour lui, même pas un mot d'excuse, plus tot un regard de défis "t'as quelque chose à dire". Ca a été trop pour moi, de nouveau direction infirmerie pour l'après midi et arret maladie.
A mon retour ce meme collègue qui me parlait deja plus à refsuser de me dire bonjour à son tour et de 2.
Maintenant c'etait a longueur de journée, comme à l'école primaire les juchotement à l'oreille et les rire en me regardant.
Le midi, j'arrive, et la, ils avaient carrément déménager une table pour se mettre dans un coin de façon à me tourner le dos.
Donc voila la situation, 2 collègues qui refusent tous contacts mais comme j'ai expliqué à ma hiérarchie et aux ressources humaines, je ne demande pas qu'ils me disent bonjour, ni qu'ils me parlent mais qu'ils arrêtent ces regards agressifs, qu'ils partent quand j'arrive dans un lieu (alors qu'il y a d'autres collègues de travail) ça fait un peu comme à l'école primaire (choisissez votre camp). Qu'ils me répondent quand je demande des renseignements pour le travail aussi non comment pouvoir travailler aussi ce n'est plus possible.
Personnellement moi je n'y arrivais plus, vous savez être la brebis galeuse.....
Le 19 février j'avais rendez-vous avec le medecin du travail pour mon invalidité 1ère catégorie (cela faisait 4 mois que j'étais en pour parlé avec la medecine et mon employeur) pour finaliser ma démarche (j'avais opté pour un 80%). Et la "BOUM" : "je vous déclare inapte à votre environnement de travail habituel".
Résultat des courses, je me retrouve chez moi à attendre la deuxième visite pour savoir si le medecin de travail me mettra apte ou si mon employeur m'aura retrouvé un nouveau poste;
Donc, je suis avec l'épée de damoclès sur la tête, licenciement ou pas;
Pour mes collègues tout va bien.

Ben dis donc...
Il est clair que selon le type d'épilepsie il faut être reclasser c'est un peu mon cas en ce moment mais la décision ne sera pas prise vite.
Parfois je me demande s'il faut ou non parler de l'épilepsie c'est soit un bien soit un mauvais choix...

On pourrait remonter le temps, je ne dirais rien à la medecine du travail. Car n'oublions pas qu'au bout du compte, c'est l'employeur qui les rémunaire. Je vais en faire bondir plus d'un en disant ça mais en travaillant dans une grande société où leur bureau est dans l'entreprise même, où ils participent à la vie même de la société. Des fois je me pose des questions, je lui ai déjà fait la remarque d'ailleurs. Ce qui a eu pour effet d'amener à des échange un peu musclé, mais fait pencher la balance et réviser son jugement. Il faut pas oublier qu'en cas de désaccord, on peut faire appel au medecin de l'inspection du travail. Dans mon cas elle se cache trop derrière ma maladie pour me mettre des bâtons dans les roues. Elle va même à l'encontre de décision de mes neuros (mes neuros sont pour que j'effectue certaines choses et elle refuse). Il est vrai que ça reste sa responsabilité.

C'est une sale histoire Mycia. Je ne sais que te dire, si ce n'est que je comprend ta détresse, je suis passé par là...
Je me doute que tu ne saches pas que faire. Pour parer à l'éventualité d'un licenciement, as tu pris contact avec l'AGEPHIP de ton coin? Ne baisse pas les bras sutout!
Je suis de tout coeur avec toi. Courage!

Que de souvenirs...
Pour avoir vécu une situation tres proche je te souhaite beaucoup de courage, de chercher du soutien auprès de tes proches, t'aerer la tete au maximum et ne surtout pas te dévaloriser face a ces idiots!!
Bats toi et si le combat ne mène nul part tu n'aura aucun regret...
Courage!!!

Merci pour vos messages cà me fait du bien au moral, car celui-ci est fluctuant.
Des regrets j'en aurai, car avec le recul, j'aurai du être méchant aussi. Car je suis quelqu'un qui croit en la nature humaine. Mais visiblement il y en a de moins en moins. Je n'ai pas été appris comme ça, je n'ai jamais agressé personne de ma vie, je ne me suis jamais battu. Je ne dis pas que j'ai jamais eu de désaccord avec quelqu'un comme tous le monde, mais le lendemain c'est oublié la vie continue. Combien de fois ma femme me le dit pas, mais tu dis toujours oui. En effet, on me demande un coup de main, j'arrive. Alors que nous si on est dans la galère.... Combien de personne j'ai déménager et nous tous seul pour nos déménagement (mais je regrette rien, je le fait de bon coeur, c'est ma nature).
Pour du soutien, heureusement il y a toujours ma femme (encore et toujours ma femme fidèle au poste). Pour ma famille, on en parle et je n'ai rien dit car ça va encore être la même chanson (pour eux je ne suis déjà pas épileptique d'un côté (papa) et de l'autre elle se sent coupable (maman) et comme tendance dépressive, je préfère ne pas en parler). Et côté frère et soeurs......
Et pour le docteur du travail, elle attend pour la deuxième visite que j'ai rencontré un psy.
En effet, suite à ma seeg et de mon éventuelle opération (c'est à moi à prendre la décision) j'ai vu une neuro-psychologue, qui m'a conseillé de prendre rendez avec un psychologue dans cmp. Donc en janvier je me suis décidé à allez consulter. J'ai rencontré un psychiatre qui m'a orienté vers un psychologue, car lui ne connaissait pas trop l'épilepsie et ne pouvait pas trop m'aider.
Comme la dernière fois au boulot après une matinée où on m'avait bien pourri la vie, j'ai appelé les ressources humaines. Toute la matinée, j'avais fait des auras, j'étais à bout. Donc je lui ai demandé ce qu'il comptait faire pour régler le problème. Il m'a dit qu'il ne pouvait pas faire grand chose de plus, qu'il avait fait une communication, en rappelant le règlement intérieur. Et voilà, qu'il ne pouvait pas intervenir sur l'éducation des gens. C'est là qu'excédé je lui ai dit "vous attendez quoi ? Que je me foute en l'air pour faire vraiment quelque chose et là vous direz , on ne savait pas qu'il n'allait pas bien". Je lui ai même rappelé que ça arrivait régulièrement que des personne (même dans des collèges) se suicide pour harcèlement.
Du coup il m'a répondu, j'arrive tous de suite avec tes supérieures. Mais ils n'ont pas eu le temps d'arriver, j'ai du aller à l'infirmerie car grosse absence et arrêt dans la foulée. A mon retour, j'ai rencontré la medecine du travail, pour mon invalidité. Et elle en a profité pour me mettre inapte. Elle m'a dit je peut pas prendre le risque de vous laisser travailler avec ce que vous avec dit. Vous m'avez parlé que vous recontré un psychologue maintenant alors je voudrais avoir son avis...
Je revois le psychiatre seulement. Mais je vois pas en quoi il peut faire avancer les chose? Je l'ai recontré une fois 10 minutes et il m'a dit qu'il pouvait pas trop m'aider, je le revois c'est vrai le 12 mars (mais comme je n'aurai pas encore vu le psychologue ) il ne sera pas plus avancé.
Pourtant, j'ai bien expliqué au docteur du travail que c'était plus un appel au secours, le jours que j'ai tenu ces propos qu'autre chose.
J'ai vu mon medecin traitant plusieurs fois, il me trouve tout a fait bien. La preuve, j'ai réservé mes vacances, ce week-end on est parti en famille. Je fais à manger, on a été faire un bowling, je vais au foot avec un de mes fils, avec l'autre au ping-pong, etc...
Je crois pas que quelqu'un de dépressif fasse tous ça??
Bon je m'excuse d'écrire des tartines.
Merci à ceux qui prennent le temps de me lire

Tu n'as pas à t'excuser pour écrire des tartines.
Parfois cela fait du bien de se défouler par écrit.
Pour ton info je vois un psy depuis plus de 2 ans et cela me fait un bien fou. Cela m'a permis d'accepter un peu mieux l'épilepsie même si cela n'a pas tjs été le cas.
Aujourd'hui je retrouve un peu mes repères grâce à un stage.
En plus tu as réservé tes vacances et tu t'occupes en famille c très bien.

A te lire on sent que tu es excédé...Mais tu gardes malgré tout la tête "froide" en ce qui s'agit de ta famille et de tes amis, tu fais la part des choses.
Maintenant voir un psychiatre n'est pas inintéressant, si tu as besoin d'un soutien le temps que ta situation se tasse.
Bien à toi Mycia.

Aucune excuse à présenter quand on témoigne d'une situation aussi effarante que la tienne.
Je lis et me sens très mal à l'aise car tu es une victime en puissance d'une cruauté incompréhensible : quel est le niveau de ces gars que tu appelles collègues ??! Effectivement ce comportement et ces alliances relèvent du CEP.
Tu dois être au bout du rouleau et je compatis sincèrement.
Tu as prononcé un mot fort, certes pour faire bouger les choses car tu es une personne qui se bat contre une injustice, mais le mot "suicide" fait tressaillir tous les responsables. J'ai eu le même raisonnement, j'ai voulu taper du poing sur la table mais j'ai mal choisi mes propos : à peine une demi heure plus tard j'avais un psychiatre face à moi.
Naturellement, tu es le mieux placé pour dire si tu as ou non des idées suicidaires mais ce harcèlement ne semble pas t'avoir mis K.O et on t'en félicite.
S'il faut passer devant un psychiatre pour rassurer ce petit monde égoïste alors il ne faut pas s'en effrayer.
Quant à ton devenir professionnel, je te souhaite un devenir plus glorieux que ce qu'on t'a fait subir.
Continue de te détendre et de profiter de ta famille. Tu nous tiendras au courant de l'évolution des choses.
Courage à toi et prends soin de toi, même si les vrais gentils sont en voie de disparition, promis, ici, tu as toute notre attention et compassion.

Tu n'as pas besoin de t'excuser pour prendre le temps d'expliquer ton cas.
Je suis surpris que le psychiatre ne connaisse pas l'épilepsie. Un psychiatre est un docteur contrairement au psychologue. Moi-même j'ai été voir un psychologue dans un CMP mais j'avoue ne pas avoir accroché. J'imagine que cela dépends de la personne en face. Finalement j'ai été voir un psychiatre en dehors du cmp qui lui m'a redonné confiance. bon je vais le revoir dans 3 semaines car j'ai besoin de savoir pkoi j'ai toujours aussi mal a la tête.

Il est clair qu'un psy doit connaître l'épilepsie mais il peut arriver qu'il ne connaisse pas grand chose.
Il est aussi difficile de trouver la bonne personne avec laquelle on accroche ou pas.
Je ne sais pas si ton psy va pouvoir te fournir l'explication concernant tes maux de tête

ne nous éloignons pas trop du sujet.
LA bétise humaine fait se réfugier dans des clans certains collègues de mycia. Il ne faut pas leur en vouloir non plus c'est une manière de se protéger pour eux car ils ne connaissent surement pas la maladie. S'ils en étaient atteint ils ne réagiraient pas de la même manière. On a toujours peur de ce que l'on ne connait pas. Peut etre serait il bon de faire une sorte de réunion leur expliquant ce qu'il t'arrive, pourquoi pas avec le medecin du travail.

Cedric97432 a écrit:ne nous éloignons pas trop du sujet.
LA bétise humaine fait se réfugier dans des clans certains collègues de mycia. Il ne faut pas leur en vouloir non plus c'est une manière de se protéger pour eux car ils ne connaissent surement pas la maladie. S'ils en étaient atteint ils ne réagiraient pas de la même manière. On a toujours peur de ce que l'on ne connait pas. Peut etre serait il bon de faire une sorte de réunion leur expliquant ce qu'il t'arrive, pourquoi pas avec le medecin du travail.

Hum,hum...je ne suis pas sûr que cette solution soit la meilleure...S'ils ne sont pas capables d'assimiler que mycia soit en situation de handicap...Ils ont l'air de parfaits abrutis...Se mettre à nu devant un tel collège...
Enfin moi en tous cas je ne le ferai pas, même avec ma grande Gu..le.

Ah le monde du travail les collègues peuvent vraiment être cruels envers mycia et ces collègues ne sont pas capables d'assimiler la situation.
Ne te laisse pas faire par ce genre de personnes

Bon d'accord j'ai sans doute écrit trop vite.
Effectivement si ils sont assez bêtes pour se réfugier dans un coin ou lancer de la nourriture avec leur cuillères c'est vrai que leur dire ne va pas faire avancer les choses.
Porter plainte peut etre?

Alors la porter plainte je ne sais pas.
Ont-ils été injurieux à ton encontre ?

Porter plainte serait déclarer la guerre. Le harcèlement est une accusation qu'il faut pouvoir soutenir... C'est à mycia d'en juger

Bonjour,
Je fais partie d'une grande société, où il y a un conseiller d'ethique. Il m'avait proposé une table ronde avec tous mes collègues et la medecine du travail, ressource humaine et hiérarchie justement pour dire "Michaël il est malade, il est reconnu travailleur handicapé, et patati et patata ..." J'ai refusé car je trouvais que celà allais me mettre encore plus à l'écart des autres, me différencier. De plus que dans les 2 collègues qui me pourrissent la vie, il y en a une qui est reconnue travailleur handicapé. C'est même moi qui lui ai conseillé d'en faire la demande (pour un problème physique).
Ne pas me laissé faire ? Ce n'est pas mon intention. Mais malheureusement, j'aurais du utiliser les mêmes armes qu'eux. C'est à dire la méchanceté et la cruauté et les mots. Car pour la loi?? Le harcèlement, c'est au harcelé de le prouver. Et vous savez, allez demander à des collègues de vous faire un écrit sur d'autres collègues. C'est la politique de l'autruche.
Et puis le plus gros soucis dans l'histoire c'est que c'est pas un collègue, mais 2, donc l'union fait la force. J'ai déjà été une semaine face à un des 2 (l'autre malade) directement la tension était redescendue. En fin de semaine on en était même revenu à parler. Le lundi, au retour du 2ème, boum retour à la guerre.
Comme je l'expliquais au ressource humaine et medecin du travail, l'etre humain est un animal comme les autres.
Je ne sais pas si vous avez des animaux ou observez des animaux, mais ceux-ci dès qu'il y en a un affaibli ou différent, il commence à le mettre à l'écart ou à l'empecher de se nourrir ou a le frapper jusqu'a le tuer.

Tout d'abord je suis d'accord avec toi quand tu as dit que tu refusais une table ronde car comme tu le dis si bien tu aurais été mis encore plus à l'écart.
Je constate aussi que les gens sont d'une cruauté autant au sein d'un job qu'au sein d'un club de danse (je parle pour moi).
En ayant deux collègues qui font la gueguerre c vraiment pas simple.
J'ai deux chiennes et une est un peu jalouse sur l'autre. Il faut mettre de l'ordre très souvent.

"L'homme est un loup pour l'homme"...
Je sais plus ou j'ai lu ça, mais je le trouve fort à propos.

mycia a écrit: Le lundi, au retour du 2ème, boum retour à la guerre.
Comme je l'expliquais au ressource humaine et medecin du travail, l'etre humain est un animal comme les autres.
Je ne sais pas si vous avez des animaux ou observez des animaux, mais ceux-ci dès qu'il y en a un affaibli ou différent, il commence à le mettre à l'écart ou à l'empecher de se nourrir ou a le frapper jusqu'a le tuer.

Dans la faune, achever un individu malade a pour fonction de préserver les autres membres du groupe. C'est un instinct de survie.
Sinon il est question de prédation. La lionne va optimiser son action en choisissant une cible faible ou jeune.
Mais en aucun cas un animal ne fera preuve de méchanceté gratuite et c'est bien en cela que nous, êtres humains, avons une nature ignoble... Dire qu'à lire la Bible, Dieu nous a créés à son image ... quel sadique il fait

MuffinShow a écrit:
Dire qu'à lire la Bible, Dieu nous a créés à son image ... quel sadique il fait

Yannkuzza, c'était le sujet de philo quand j'ai passé mon bac en 1988

"l'homme est un loup pour l'homme" que de souvenir .....

Quelle mémoire mycia
Je n'avais que 10 ans mais je m'en rappelle, j'étais assis au fond

Donc tu étais juste à côté de moi, je me rappelle, tu es le fils d'un examinateur alors ou alors tu es un surdoué