conséquence d'un accident sur l'épilepsie

Salut et merci a tout les deux muffin et yannkuza je viens de rentrer de la fête forraine eh oui, j'y suis encore...
Et c'est la 1ère fois que je quitte de bonne heure.
Vous avez sans doute raison pour la vie future mais j'ai encore beaucoup a faire pour parvenir a faire l'impasse et a en tirer les leçons qui s'imposent. Je ne me plains pas il y a beaucoup plus malheureux que soit et il y en aura toujours mais ca demande quand même un long et pénible effort
J'y arrive, petit a petit.
Je vois aussi ça comme une chance pour moi d'avancer sans rien devoir a personne. Juste pour moi
Votre soutien m'est précieux merci

corinna.beuve a écrit:Salut et merci a tout les deux muffin et yannkuza je viens de rentrer de la fête forraine eh oui, j'y suis encore...
Et c'est la 1ère fois que je quitte de bonne heure.
Vous avez sans doute raison pour la vie future mais j'ai encore beaucoup a faire pour parvenir a faire l'impasse et a en tirer les leçons qui s'imposent. Je ne me plains pas il y a beaucoup plus malheureux que soit et il y en aura toujours mais ca demande quand même un long et pénible effort
J'y arrive, petit a petit.
Je vois aussi ça comme une chance pour moi d'avancer sans rien devoir a personne. Juste pour moi
Votre soutien m'est précieux merci

Il faut laisser le temps au temps.
Le psychisme est fascinant.
Des traumatisés peuvent s'enrichir, sortir plus fort de leurs vécus. La résilience est un concept incroyable. Je ne dis pas que nous en sommes tous capables mais quand on a la volonté, on peut aller très loin   

Merci muffins tu sais toujours trouver les mots approprié.
Je ne me sens pas traumatisée mais c'est juste que les blessures ne sont pas encore refermées. Je n'ai plus ni rancune ni l'envie de leur montrer ou prouver quoi que ce soit mais de le faire pour moi. Ils n'ont pas été là quand j'en avais besoin et maintenant c'est moi qui n'ai plus besoin d'eux. Ça fait longtemps que j'ai appris à ne plus compter sur leur soutien. Je suis passé à autre chose c'est déjà un grand pas pour moi. Et j'ai envie de continuer à avancer encore plus ainsi la.volonté prend le pas sur l'abattement qui m'étais coutumier dans "ma famille "mais je compte bien avoir une vie normale sans chercher pour autant à leur retourner la pareil si l'occasion se présente un jour. Je n'en vois plus l'intérêt. Je n'ai pas envie de leurs ressembler ni m'abbaisser à faire ça. J'ai tout fais pour être totalement différente d'eux. Je ne le serait pas. J'ai au moins appris ça.
Voilà tout.

Quand j'ai dit je ne le serait pas à.la fin de mon poste ça voulais dire que je ne serai pas comme eux, pas que je n'arriverai pas être différente d'eux, bien au contraire

Compris   

Tant mieux alors dès fois je m'exprime tellement mal. Mais à force je pense que vous réussissez à décrypter mon langage

salut a toi
les traumatise a la tete sont long voir inguerrisable,mais bon ,on vie avec ...
je vois que tu aime l equitation s est bien,mais leve la smelle,les chutes sont frequentes .
tu sais ,sans te raconter ma vie,je faisait de la boxe avant mes problemes j etais assez jeune;j ai tout laisser,j ai voulu remettre les gant plusieurs fois,sans dire pour mon trauma,a chaque fois les entraineur m ont virer,voyant mes cicatrice,lorsque j en ait parler au neuro,il m a repondu s etait de l inconscience.
durant 20 ans foire et marché,a chaque retour de foire pratiquement,des crises pendant le sommeil,donc je me limite au marché,mais bon sa reste au moins un plaisir d y retourner un peu.
meme si tu aime a ce point l equitation,fait attention a toi.

Salut Aldo oui j'ai eu de multiples fractures et contusions. Écrasement du sternum clavicule plus trois côtés cassees coxys fêlé vertebres du dos qui ont toutes sautées d'un cran commotion cérébrale et enfin le crâne douvert 12 points de sutures. Bref je ne me suis pas loupée. Seulement comment concevoir ma vie sans équitation. Du moins il serait plus exact de dire sans chevaux. Plus qu'une passion qu'un sport c'est pour moi un mode de vie a part entière je suis comme ça. C'est dans les chevaux que je puise la force de me battre encore et le soutien le plus efficace. Comment pourrai-je vivre sans ça ? Si toutefois cela peut te rassurer je me rends bien compte que mon état est au point tellement faible que je nai pas d'autre choix que de lever le pieds comme tu dis. J'ai déjà arrêter la compétition par manque de temps à cause du boulot mais aussi de ma faiblesse et de la perte de ma jument qui remonte à assez récemment quand même. Malgré tout je monte pour mon plaisir pur et dur et par besoin surtout à travers champs. Et pour le moment c'est tout alors à part sauter les arbres et galoper dans les champs et les bois c'est tout. Ce qui est déjà énorme comme "ralentissement " mais c'est tell dur de vivre avec ce sentiment d'injustice...