gros coup au morale

je faisais plus de crise, et mon état de stress trop intense, mes nuit blanche a répétition, un régime pas adapter et c'est repartit pour un tour...et pour conclure mon bras c'est jamais remis en 3 ans; il est rester casser a cose d'une p... absence dans les escalier.
et la seule chose que j'entend par l'état Français charger des commission des handicap c'est que nous les épileptique on est pas assez handicaper...

expliquer moi pourquoi on est les oublier!!!!?  

Pfff et après les soit disant "dépressifs" parce que leur chat est mort ou je ne sais quoi ils ont droit a plusieurs années payées sans travailler... N'importe quoi.

Oh ? nous ne serions pas suffisamment touchés ? Les mignonnes petites frimousses... ça me rappelle une réflexion très classieuse d'une personne privilégiée (je tairai sa fonction) qui m'a lancé un "Vous faîtes une bien belle handicapée". Monsieur ne me draguait pas non mais me faisait comprendre très clairement que je n'avais rien d'une handicapée. AArrff c'est une maladie invisible et l'une des rares dont la douleur ne soit pas un signal d'alerte. En fait la douleur tu la ressens quand tu reprends conscience teintée d'ironie semblant souffler "ça fait mal ? oups, j'aurais dû surgir avant pour te mettre en garde".
Le moral est un moteur, notamment le plus fiable car le corps lui fait défaut après une crise.
Et pourtant quand j'essuie une crise ou du sang en redoutant une dent cassée, une plaie béante il fuit à grandes enjambées. Néanmoins, c'est un fidèle, tout comme la maladie, il se rappelle à moi.

Bonjour,
alors le moral, chez moi, ce fût un problème GIGANTESTQUE!
du coup je suis allé voir une psy (je l'ai dit je ne sais combien de fois sur ce forum, c'est ma phrase motrice!): elle m'a été d'une aide très précieuse, et quand je me sens mal (pour quelque raison que ce soit) je fonce la voir!
Courage!